26.12.07

Flashback

Perdus dans les sous-sols du Leboeufum Colyseum, les historiens de l'OFL mettent parfois à jour quelques faits intéressants entre 2 siestes copulatoires. Aujourd'hui, ils ont décidé de nous parler d'un club qui exista autrefois, le Spectrum Diabolicum FC.

Le Spectrum Diabolicum FC naquit il y a un peu plus de 2 ans, le 4 Décembre 2005, à la fin de la saison 27. Il était managé par un vieil homme solitaire, paranoïaque et pervers qui se faisait appeler tet983. Exactement 13 jours après sa fondation, ce petit club jusque là paisible devint champion de la division VIII.568.
Peu de témoignages ont traversé le temps, et il est difficile de connaître exactement les circonstances de cette prodigieuse ascension. Les experts ont longtemps tenté d'expliquer cela par le chiffre 13, qui aurait permis à ce club de puiser une énergie infinie dans l'au-delà. Néanmoins, l'hypothèse la plus en vogue aujourd'hui fait état d'un gigantesque coup de chatte qui consiste à hériter d'un club déjà largement premier du classement.
C'est donc sous la bannière de la division VII.859 que le Spectrum entama la saison 28. Il y restera pendant 2 saisons entières, oscillant entre la 5ème et 6ème place. Malgré un niveau sportif médiocre, le Spectrum était un club arrogant. Ainsi, ses joueurs étaient prompts à la bagarre.
Aucun joueur du Spectrum Diabolicum FC ne devint célèbre. Ils sombrèrent tous dans l'anonymat et l'alcoolisme après leur passage dans ce club. Les historiens ont retrouvé au milieu de fossiles une feuille de match relativement bien conservée. On pouvait y lire les noms suivants :
McEvoy - Plantier, Sánchez, Gaudy, Natoli - Mathevet, Terrien, Hemery, Doreau - Charmes, Chabbert

En dehors de ses résultats sportifs ridicules et de son arrogance maladive, le Spectrum se distingua sur quelques aspects extra-sportifs.
Il fût en effet le premier club de la fédération Hattrick à imposer des cotas gay au sein de son équipe sportive, ainsi qu'au sein de son équipe dirigeante. De ce point de vue, on peut dire que le Spectrum était en avance sur son temps.
Il fût aussi le premier club à proposer un service de vin chaud à volonté dans son stade. Il faut relativiser cette avancée, puisque ce service n'était mis en place qu'en cas de victoire du club. En effet, les défaites lourdes étaient le quotidien du Spectrum.
Les lendemains de match étaient inévitablement synonymes de tours de stade pour les joueurs. Leur entraînement ne consistait en fait qu'à ça.
Un dernier point mérite d'être mis en lumière, afin de dresser un portrait objectif de feu Spectrum Diabolicum. Le club avait tressé un réseau obscur de relations avec certains arbitres, dont l'ignoble PierLuigi Colina. Il est difficle d'assurer que ces liens étaient de nature à influencer les résultats de certains matchs. Une hypothèse crédible est celle faisant état d'une liaison à caractère intime entre l'italien décapillarié et tet983.

Finalement, et de façon bien pitoyable il faut le dire, le Spectrum Diabolicum FC disparût en Septembre 2006. En faillite sportive et économique, le club fût racheté et renommé Racing Club Bourguisan 1. Nul ne sait ce que devînt le manager général, mais il est probable que ses graves dérèglements mentaux le conduisirent sur des chemins bien obscurs.

Bilan sportif du Spectrum Diabolicum FC :
33 matchs joués en championnat : 13 victoires | 14 défaites | 6 nuls

24.12.07

Inadmissible

Cela faisait plus de 20 matchs en championnat que l'OFL n'avait pas perdu 2 fois de suite.
Le club est donc en ébullition depuis samedi soir et le mot est lâché : c'est la crise ! Ca faisait si longtemps qu'elle était attendue, les dirigeants ont promis de tout faire pour la faire durer un bon moment. C'est en effet dans l'échec et la déchéance que l'OFL s'exprime le mieux.
Joueurs, dirigeants et supporters sont tous impatients d'unir leurs efforts à la désintégration du club.

Allez Franck !

16.12.07

Le prix de la victoire d'habouteam

Conscient de la surpuissance de l'OFL, le pitoresque entraîneur haboutien alignait hier soir un lamentable 5-3-2, signe d'un esprit déficient. Cette tactique a été copieusement sifflée hier au Leboeufum Colyseum. Mais la réaction la plus surprenante fût celle de Ruel Radywonik, le nouvel entraîneur olympien : il se précipita furieux vers le banc haboutien et trancha la gorge de 8 joueurs.
Un excès de violence qui ne s'était pas vu depuis longtemps. Les supporters étaient ravis.

9.12.07

Un match bien préparé

Comme prévu, le fc kéné a été atomisé 4 à 0 hier soir par l'OFL, dans l'ambiance chauffée à blanc du nouveau stade de 30800 places.
Certes les supporters kénéistes ont dû être étonnés de voir leur entraîneur aligner une formation en 2-4-2. Mais ils doivent se souvenir que les vestiaires du Leboeufum Colyseum sont un lieu dangereux, et parfois de malencontreux accidents surviennent.
Les dépouilles des 2 joueurs seront mises en terre ce soir au niveau du rond central.

6.12.07

Le Colyseum se dilate

Il ne s'est écoulé que 4 mois depuis son dernier lifting, et pourtant le Leboeufum Colyseum est à nouveau agrandi.
Pas facile pour les dirigeants boeufistes de s'adapter à la démence fanatique qui entoure le club.
Un chiffre pour illustrer cette ferveur populaire : le nombre de packs supporter (abonnement + string OFL + 1 dose d'EcstaBoeufy) vendus le mois dernier s'élève à 440 000.

L'ambiance risque d'être brûlante samedi soir pour accueillir les pitres du fc kéné !

1.12.07

Une 4ème journée mitigée

Un résultat nul au VBC03 Arena, les dirigeants de l'OFL ne savent quelle conclusion tirer de cette rencontre. La satisfaction d'abord : encore un carton rouge et une bagarre violente dans les vestiaires. La déception ensuite : l'OFL patine et se laisse distancer au sommet du classement.
Il y a fort à parier qu'une réunion au sommet aura bientôt lieu, avec en bonus l'éjection de l'entraîneur ?